Augmentin médicament générique

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Augmentin®

Augmentin® Sandoz, Sandoz Pharma AG

Qu'est-ce que Augmentin et quand doit-il être utilisé?

Augmentin est un antibiotique qui appartient à un groupe de médicaments appelés «les pénicillines». Ce sont des médicaments qui détruisent ou inhibent la formation de substances dans le corps qui sont responsables de l'infection. Elles sont donc aussi utilisées pour traiter des maladies infectieuses comme la pneumonie ou la septicémie.

Selon les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, les antibiotiques sont efficaces uniquement contre les organismes sensibles. Il a fallu attendre que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne viennent au secours de la Grèce en 2010, pour que les mesures d'austérité soient appliquées à l'ensemble des pays de la zone euro», dit-il.

«La croissance est un processus naturel»

Avec la crise, les gouvernements sont passés du modèle de déficit structurel à celui de déficit conjoncturel. Un déficit structurel signifie qu'en cas de choc défavorable, comme une récession, la croissance de l'économie reste supérieure au niveau de référence. Ce n'est donc pas un déficit conjoncturel. C'est une politique destinée à stabiliser l'économie et à prévenir la récession.

Il y a un déficit conjoncturel, car lorsque l'économie est en difficulté, les gouvernements compensent en augmentant leurs dépenses, explique Bruno Colmant. «La crise a montré que ce mécanisme ne fonctionne pas. Et de poursuivre: «Le déficit structurel des pays en déficit est inférieur à 3%, le déficit conjoncturel des pays en excédent est supérieur à 2,5% du PIB.»

Après la crise et dans une économie de moins en moins ouverte, la croissance devrait se stabiliser à 1,3% par an en moyenne entre 2017 et 2020. «Le déficit structurel devrait se réduire de 5,2 points de PIB d'ici 2020, contre 3,6 points actuellement», dit-il. La dette publique devrait s'élever à 80,2% du PIB d'ici 2020, contre 85,8% actuellement, contre 107,3% en 2000.

Mais ce n'est pas fini. Pour les pays qui vont bientôt sortir de la zone euro, «nous sommes en train de négocier la sortie de la Grèce», dit-il. «Nous avons besoin d'une monnaie unique en Europe», dit-il. «C'est le seul moyen de sortir de la crise. Les pays qui vont sortir de la zone euro seront obligés de mettre en place une monnaie unique», dit-il. «Si l'Europe est incapable de s'entendre, nous ne pourrons pas sortir de la crise», dit-il. Il a aussi dit qu'il fallait «une gouvernance économique européenne». Pour Bruno Colmant, «il faudra des politiques communes dans la zone euro. Nous avons besoin de la Banque centrale européenne pour financer les investissements nécessaires».

Dans un autre registre, le professeur à l'IMD et à Sciences Po a appelé les autorités européennes à réfléchir au retour des frontières. «La zone euro a un potentiel de croissance de 1,4% et il faut le protéger. L'Europe a déjà des frontières intérieures et extérieures, avec le Royaume-Uni, l'Irlande, les Pays-Bas, le Luxembourg et l'Autriche», dit-il. «L'Europe ne veut pas voir revenir les frontières parce que cela crée de l'incertitude. Les entreprises sont plus prudentes que les Etats», dit-il. «Il est nécessaire que les pays de la zone euro soient capables de gérer leurs frontières», dit-il. «Si les frontières sont ouvertes, les pays de la zone euro se retrouvent tous ensemble. Si les frontières sont fermées, cela donne un sentiment de manque de sécurité aux entreprises et aux consommateurs. Et il est probable que la crise de confiance va durer et se renforcer.»

Bruno Colmant a aussi mis en garde contre une «destruction du système monétaire européen». «Il serait irresponsable de détruire le système monétaire européen, qui assure l'intégrité du bloc monétaire et une union monétaire stable», dit-il. «La zone euro est un système monétaire et budgétaire qui fonctionne. Ce système est un mécanisme de stabilisation et qui protège l'euro contre le risque de change», dit-il. «L'euro est la monnaie de la zone euro et pas une monnaie de l'UE», dit-il. «Les pays doivent prendre en main leur destin», dit-il. Le professeur estime que la monnaie unique de l'UE est «une nécessité». Mais il ne faut pas que cela se fasse au détriment de la croissance et des investissements. Il faut maintenir une zone euro qui fonctionne bien. Si elle se trouve en difficulté, elle pourra se redresser», dit-il.

«Nous avons des mécanismes de solidarité pour le chômage, l'aide au développement et la sécurité sociale. Mais il ne faut pas que la zone euro se retrouve dans une situation de non-respect de ses règles. Si la zone euro se retrouve dans cette situation, la sortie de l'euro ne sera pas une option», dit-il. Il dit qu'il ne faut pas «une rébellion», mais une «révolution» pour sauver l'euro. «Il faut que les citoyens aient la sensation d'avoir mis la main sur la politique européenne», dit-il. «Le système politique européen doit être réformé de manière à ce que les décisions soient prises à Bruxelles. Et le système politique doit être réformé dans le sens de plus de démocratie», dit-il.

«Je suis certain que dans les années qui viennent, il y aura des solutions pour sortir de la crise.»

«Nous devons nous concentrer sur la croissance et l'investissement.»

«La croissance n'est pas un processus naturel»

Bruno Colmant a fait partie des experts qui ont analysé les causes de la crise de 2008 et en ont identifié les causes. «La croissance est un processus naturel», dit-il. «C'est un processus de rattrapage et de rattrapage des investissements. L'économie n'est pas seulement un processus de production de biens. Il y a aussi des processus, comme le processus de décision qui doivent être pris en compte. La croissance n'est pas un processus. Elle n'est pas naturelle. Elle n'est pas spontanée». Pour lui, «la croissance est un processus naturel et inévitable». Il affirme que la croissance est «parfois lente». «Elle n'est pas linéaire. Elle n'est pas non plus uniforme. Nous avons un processus de rattrapage et de rattrapage des investissements. Ce processus de rattrapage de la croissance est un processus lent. Il est nécessaire de réformer les politiques en ce sens. Cela nécessite un dialogue social», dit-il.

«La croissance est un processus naturel et inévitable»

«Les pays développés ont une croissance de 2% à 3% par an et nous avons une croissance de 1,4% par an», dit-il. «Mais pour les pays en développement, le taux de croissance annuel est de 1%. Nous avons donc une croissance de 2,5% par an. Je vais essayer de trouver des gens pour me soutenir mais ce n’est pas facile de trouver des gens qui ont vécu ce que j’ai vécu ».

« Je suis heureux que vous ayez pris contact avec mon épouse, elle vous a sûrement entendu et ça lui a fait du bien de savoir qu’il y avait un autre que moi. Il vous a aidé à aller de l’avant. Il ne faut pas que cela vous affecte », a-t-il dit.